La garantie plancher veut dire proposer à l’assuré une prestation minimum. Il est fortement conseillé de la définir avant toute signature de contrat d’assurance-vie. Une option facultative, mais intéressante. Certes, cette garantie plancher permet au souscripteur et au bénéficiaire de toucher une part du fonds.
Les différentes formes de la garantie plancher
Une des formes de garanties plancher s’agit de la garantie vie. Elle autorise l’assuré à définir la somme minimum à allouer au bénéficiaire. Cette garantie doit être mentionnée dans le contrat d’assurance pour être exécutée au moment propice. Pour la garantie plancher indexée, l’assuré peut profiter du taux d’intérêt de son capital déposé. Ce taux sera défini par l’assureur et l’assuré, pouvant se faire l’objet d’une négociation. Pour une assurance, il est conseillé de booster votre capital et de ne pas le toucher fréquemment si vous voulez recevoir plus de bénéfices. Quant à la garantie cliquet, l’assuré peut toucher une part de ses cotisations ou de ses primes. Mais, pour déposer à nouveau de fonds, il a l’obligation de les compléter pour atteindre, au moins, le montant le plus élevé qu’il a déposé depuis son contrat.
Les enjeux de la garantie plancher
Avoir recours à une assurance-vie notamment à une garantie plancher est incontournable pour mieux garantir l’avenir tel que la retraite, la maladie, les éventuelles forces majeures ou bien d’autres encore. Une garantie plancher a pour objectif de déclencher un capital minimum à l’assuré ou au bénéficiaire. Elle se calcule en général de manière simple : soustraire le versement aux investissements auquel est soustrait le montant des rachats. Par contre, il y a un seuil que l’assureur ou le bénéficiaire ne peut dépasser si la garantie plancher s’accompagne avec une somme maximum. Ainsi, il est possible d’en bénéficier, mais l’on ne peut toucher que le montant inférieur à ce seuil imposé par l’assureur.