Comme son nom l’indique, une assurance-vie a pour vocation de garantir un versement ou un revenu périodique. Adhérer à ce contrat mérite une connaissance parfaite des formes de versement possible si l’on veut tirer profit des primes ou des cotisations versées ainsi que de ses intérêts. Il existe trois formes de versement possible dans ce produit d’épargne.
Verser une seule fois
Cette forme de versement d’une assurance-vie n’est plus bénéfique surtout en France. Elle ne se fait qu’au début du contrat. Et, quel que soit le motif, il est quasiment impossible de verser d’autres capitaux pendant la durée de cet accord. L’assureur a pourtant, la possibilité d’inscrire l’assuré à un autre contrat si celui-ci le demande. Il est donc conseillé d’opter pour d’autres formes de versement si le souscripteur veut générer plus de bénéfices à ses fonds.
Verser sans condition ni plafond
C’est la forme de versement est la plus utilisée aujourd’hui. Elle propose de nombreux avantages au souscripteur. Ce dernier peut payer ses sommes n’importe quand pendant le contrat. Cependant, certains assureurs exigent comme valeur minimum 100 euros au premier paiement et 50 euros au reste de versements, mais ils ne sont pas nombreux. Ce type de contrat ne requiert pas aussi de plafond à vos fonds. Dans cette forme, l’assureur et l’assuré fixent à l’avance le montant à payer et les intervalles de paiement. Une fois que le contrat est signé, rien ne peut le modifier et l’assuré a le devoir de le respecter. Sinon, une pénalisation de 5 % sera attribuée. Aussi, l’assureur est en mesure de mettre fin au contrat en cas de répétition de fautes. Quant au mode de paiement, l’assuré peut proposer à l’assureur de payer par chèque, par prélèvement automatique, par virement bancaire ou encore par espèce. Il ne faut pas confondre « mode et forme de versement ».